Avantage de l'ignorance Louis Guilloux Michel Danton

L’auteur

Louis Guilloux (1899-1980), fils de cordonnier militant socia-liste, écrivain engagé, publie La maison du peuple en 1927, puis plusieurs romans dont le plus célèbre reste Le Sang noir (1935). Il s'occupe du Secours rouge dès 1935, accompagne Gide en URSS l'année suivante, héberge des résistants dans sa maison de Saint-Brieuc durant l’Occupation et, à la Libération, deviendra interprète pour les tribunaux militaires américains (voir OK Joe, 1976). Il publie également Le pain des rêves (1942), Le Jeu de patience (1949), Les Batailles perdues (1960), La Confrontation (1967), Coco perdu (1978) et ses Carnets 1921-1944 (1978).
Le texte publié ici a paru dans la revue Verve en 1952 et n’avait jamais été repris en volume.


Parution Septembre 2017
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		L’artiste Michel Danton, né en 1952, a connu une brève enfance algé-rienne. Il vit et travaille en Gironde. Il a pratiqué une activité de graphiste et d’illus-trateur, essentiellement au service du théâtre, de la musique et de quelques éditeurs. Un goût des lettres, des livres (avec Corinne Enaudeau, Yves Peyré) et
		des signes qui nourrit aussi la curiosité du peintre. Son travail a fait l’objet d’expositions personnelles dans quelques musées (Saintes/Cognac, Lodève, Albi) ou galeries (Paris, Lausanne, Bordeaux, La Rochelle, Meyrals, Perpignan…) et de publications (Ed. Alternatives, Le temps qu’il fait).
	Louis Guilloux & Michel Danton Avantage de l’ignorance 2017. 24 p. 19,5/28, sous étui pleine toile, tirage limité à 30 exemplaires sur BFK Rives, numérotés et signés, enrichis de deux peintures originales signées par l'artiste. ISBN 978.2.86853.644.0 390,00 €
		L’auteur Louis Guilloux (1899-1980), fils de cordonnier militant socia-liste, écrivain engagé, publie La maison du peuple en 1927, puis plusieurs romans dont le plus célèbre reste Le Sang noir (1935). Il s'occupe du Secours rouge dès 1935, accompagne Gide en URSS l'année suivante, héberge des résistants dans sa maison de Saint-Brieuc durant l’Occupation et, à la Libération, deviendra interprète pour les tribunaux militaires américains (voir OK Joe, 1976). Il publie également Le pain des rêves (1942), Le Jeu de patience (1949), Les Batailles perdues (1960), La Confrontation (1967), Coco perdu (1978) et ses Carnets 1921-1944 (1978). Le texte publié ici a paru dans la revue Verve en 1952 et n’avait jamais été repris en volume.