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[Valet] Collectif
Paul Valet
Textes, études, témoignages. Inédits de l’auteur, iconographie, bibliographie. Cahier cinq. 136 p. 16,5/24.
1987. ISBN 2.86853.049.7
— 14,50 €
De Paul Valet (1905-1987) Cioran écrit dans ce cahier : «Sa vision du monde est celle d’un maudit exilé au Paradis. Ce paradoxe explique, en partie tout au moins, l’étrange coexistence chez lui d’un lyrisme frénétique et d’une réflexion sereine. Ses vers sont d’un déchaîné, ses propos d’un sage.»

Nadine Vasseur
Le poids et la voix
Essai. 184 p. 14/19.
1996. ISBN 2.86853.250.0
— 17,00 €
«Ça ne pèse rien une voix, c’est ce qui s’échappe et s’envole, ce qui nous révèle au rythme de ses syncopes et de ses vibrations, dans ses silences; en ce sens, elle est une sorte de double inversé de la nourriture qui nous leste et nous plaque au sol, nous rappelle les bornes de notre corps.»

Franck Venaille
Capitaine de l’angoisse animale
Poésies, 1960-1997. Choix et préface de l’auteur. 400 p. 16,5/24.
1999. ISBN 2.86853.294.2 — Réimp.

«Je décidai de devenir cheval flamand, de hennir, de penser et d’écrire dans cette langue» déclare Venaille — qui n’en donne pas moins, depuis trente ans, une œuvre en langue française qui marque, par sa diversité, sa densité et la vérité, parfois âpre, de sa parole. Une somme : l’essentiel d’une œuvre poétique majeure de notre temps. (Coédition avec Obsidiane).

Paul Verlaine
Les poètes maudits
Préface de François Boddaert. Coll. Mémorables. 64 p. 13/20.
1990. ISBN 2.86853.126.1
— Réimp.
C’est le premier livre en prose de l’auteur, dont la première version fut publiée en 1884 sous forme d’un réquisitoire en faveur de ceux qui, comme l’auteur, s’en sont allés «mordant au citron d’or de l’Idéal amer». Ce sont Tristan Corbière, Arthur Rimbaud (auquel il réserve la part du lion) et Stéphane Mallarmé. François Boddaert, dans une préface virtuose, évoque les raisons de son durable succès.

Joël Vernet
Journal fugitif au Moyen-Orient
Récit de voyage. Avec 30 photographies de Françoise Nuñez et Bernard Plossu. 168 p. 14/19.
2012. ISBN 2.86853.551.1
— 20,00 €
Un séjour de deux ans à Alep (1999-2001) a permis à Vernet de sillonner la Syrie et les alentours en voyageur sans but, habillé d’effacement et d’invisible, avec ce seul programme : «greffer son ignorance à de l’inconnu».

Jean Pierre Vidal
Feu d’épines
Carnets. 168 p. 13/20.
1993. ISBN 2.86853.161.X
— 14,00 €
On lira dans ces carnets le récit d’une veille (préserver le désir d’obéissance au monde), qui devient parfois celui d’un combat, quand le moi regimbe ou quand le monde écrase. L’auteur ne cherche pas ici à percer son propre secret, mais plutôt à écouter patiemment ce que veut dire à ce moi chaque chose du monde, amie ou ennemie.

La fin de l’attente
Carnets. 136 p. 13/20.
1996. ISBN 2.86853.239.X
— 13,50 €
«On ne devient digne de l’espoir que lorsqu’on n’attend plus. Pour ne plus attendre il faut avoir tout reçu et avoir tout perdu...»

Marie-Claude Vincent
Le Ravin du monde
Roman. 144 p. 12/19.
1988. ISBN 2.86853.066.4 — Épuisé.

Ce premier roman de Marie-Claude Vincent nous conte, avec émotion et poésie, la renaissance d’un couple foudroyé par la brusque folie de l’homme. Quand deux êtres s’aiment plus que tout, la lumière leur fait un peu de place, et éclaire le Monde devant eux.

La nuit du Privilège
Nouvelles brèves. 128 p. 12/19.
1996. ISBN 2.86853.241.1
— 13,50 €
Ces récits de sorcière, de femme, de mère, d’amante, sont aussi des poèmes en prose. Ou bien encore des équations à la rigueur foudroyante, des outils de haute précision que le lecteur pourra utiliser pour détruire en lui, comme par la concentration extrême d’une lumière, la médiocrité amoureuse et le désir de possession.

Vincent Wackenheim
La perte d'une chance
89 lettres de Maximilien Schnug à son épouse Marguerite au sujet d'un rat, d'un nain et de leur fils Leo. 96 p. 14/19.
2003. ISBN 2.86853.374.4
— 14,00 €
«Il a pris son assiette dans ses mains, il l'a portée à sa bouche pour terminer sa soupe, la nuque en arrière, on ne voyait plus son visage, mais seulement un rond blanc, comme une lune — moi, j'ai ri, j'étais Dieu. Je t'embrasse. Maximilien.»